Journée mondiale du Bonheur et BIB
mercredi 20 mars 2013
Aujourd’hui, nous sommes le 20 mars, c’est donc la journée mondiale du Bonheur (décrété par l’ONU en 2012). Alors parlons-en un peu !
Il y a un mois presque jour pour jour, le Centre des Jeunes Dirigeants d’entreprises de Brest m’a sollicité pour intervenir sur la question du BIB : le Bonheur Intérieur Brut. Sujet pas commun, mais tout à fait digne d’intérêt !
Qu’est-ce que le bonheur ? Une société est-elle encline au bonheur ou l’inverse, et cela se mesure-t-il ? Tout plein de questions viennent à l’esprit, dont une centrale pour moi : suis-je compétent pour parler du bonheur et à quel titre ?
Contrairement à la philosophie, la politique parle assez peu de la question du bonheur, pourtant n’est-ce pas une question centrale que l’on oublie tout simplement de traiter, pris dans nos contingences techniques ou administratives ?
Du coup, je me suis un peu creusé les méninges pour tenter d’expliquer le concept de BIB et sortir quelques fragments de réflexions personnelles sur le sujet du bonheur. J'y ai trouvé un vrai intérêt, autant pour moi-même que pour la façon de faire ou de produire de la politique.
Lors de mon intervention, j’avais découpé mon propos en deux parties.
Dans la première partie, j’ai plutôt cherché à exposer les fondamentaux du concept de BIB (ici), ainsi que ce qui faisait référence pour moi sur le sujet (je n’ai pas vraiment eu le temps de développer cela d’ailleurs, mais la partie historique était déjà bien décrite sur par le précédent intervenant).
Dans la seconde partie, n’étant pas philosophe, je ne me suis pas attaqué à la question du bonheur en lui-même, mais plutôt à la façon d’y accéder, à la façon de trouver le bonheur en société (ou en entreprise, puisque je m’adressais à des jeunes dirigeants d’entreprises). Certaines choses sont plutôt favorables au bonheur, quand d’autres le sont peut-être moins.
J’ai choisi de développer ce qui m’ont semblé être « quatre conditions au bonheur » :
Ces quatre conditions sont évidemment une approche très personnelle et donc sujettes à controverses. Mais au final, elles m’apparaissent pertinentes (point de vue qui semble avoir été partagé par certaines personnes dans la salle, lors de mon intervention), mêmes si elles sont évidemment probablement incomplètes.
A suivre donc … !